Le Monde Magique

PNJ .

Kaprice, l'esprit frappeur qui avait élu domicile au château depuis peu, se promenait au milieu des élèves, venu observer les lieux et faire de nouvelles rencontres. Un de ses passe-temps préférés était d'ennuyer ces jeunes gens, c'était tellement amusant.

Cachée derrière un banc, elle sortit une sarbacane et coinça à l'intérieur une boulette de papier mâché par un elfe de maison croisé en chemin. Et par chance, un couple s'arrêta prés d'elle pour regarder un calamar géant nager dans la mer noire. Elle s'éleva, prit son aspiration et souffla abondamment en visant la tête de la jeune sorcière.

La réaction du spectre fut immédiate. Dés que la boulette toucha sa cible, Kaprice se camoufla de nouveau pour rire en silence de sa plaisanterie avant de recharger son arme pour toucher cette fois ci le compagnon de la jeune fille.

- Tu veux de l'aide ? demanda une voix prés de l'ectoplasme.

Celle ci se retourna et fut surprise de voir un professeur de Durmstrang la fixer, les bras croisées.

- Non merci, lança-t-elle avec froideur. Bravo... Ma cible est partie.

- Déguerpit de là maintenant. Ne m'oblige pas à utiliser les grands moyens.

- Aucune liberté dans ce château. C'est pire qu'une prison ici, marmonna-t-elle en faisant feinte de s'éloigner.

Dés que le professeur disparut, l'esprit frappeur s'arrêta et examina les personnes autour d'elle.

- Je n'ai même plus envie de m'amuser. Allons faire connaissance avec les nouveaux élèves, murmura-t-elle en vaguant à travers la foule jusqu'à un sorcier. Salut.

Invité .

Le jeune Nathaniel, vagabondait dans les couloirs comme d’habitude. Il n’avait pas cours cej ur là et rien ne pouvait l’empêcher de se défouler, seul. Il monta un escalier et regarda par la fenêtre médiévale le beau paysage qui s’offrait à lui. On aurait un dit une forêt immense, tout était de vert et de marron et le bleu du ciel rendait ce paysage encore plus magnifique. C’était le paradis. Il appuya le coude sur le rebord de la fenêtre et appuya sa tête sur son poing et regarda tout ça. Pour la première fois, le stress se dissipa pour faire place à du bonheur. Il ferma les yeux et finit par s’assoupir, un rêve vint à lui. Nathaniel était dans une grande salle, dont le plafond était de couleur « diamant ». Cela signifiait la plénitude, la pureté et la perfection…. Qu’est que cela pouvait signifier ? Qu’est qui pouvait être parfait ? Le paysage ? Durmstrang ? Sa vie ? Surement pas…. Il ne se posa plus de questions. Cette couleur diamant domina son rêve et disparut d’un seul coup et arriva ainsi, en conquérant, le jaune qui voulait dire : u n équilibre interne des pensées et des sentiments. Elle produit de la paix, du silence et du calme. Elle contribue au développement de l'intelligence et des capacités intellectuelles. Nathaniel se réveilla soudain et fit un bond en arrière.
Qu’est-ce ? Mon Dieu…. Ce rêve très bizarre. Il secoua sa tête comme un chien, puis repartit, sans jeter un coup d’œil en arrière. Le stress revint petit à petit, et le petit sourire du coin des lèvres se mua… Le visage de Nathaniel revint sérieux, ferme, indescriptible. Aucun sentiment n’apparaissait sur celui-ci.

Il s’arrêta un instant et s’assit sur un banc, plusieurs élèves passaient devant lui. Des cris, des rires, des injures, des sortilèges et des pleurs aussi ! Personne ne l’embêta jusqu’à ce qu’une petite voix, fluette, vint le perturber.

-Salut.

Nathaniel sursauta, se retourna aussitôt et vit devant lui, un esprit frappeur ! Oh non, il allait encore l’embêter, rectification, c’était elle.

- Ben….eu…. bonjour esprit ! Mmm…. Sa va ? héhé, dit-il d’une voix incertaine.

Il lui fit un petit signe de la main, signifiant « coucou » et resta planté là, un sourire stupide sur ses lèvres.

PNJ .

L'esprit frappeur regarda le jeune homme. Sa maladresse la fit sourire. Pourquoi toutes les personnes qui lui adressaient la parole semblaient craintif ? Après tous elle n'était qu'un fantôme, rien de plus.

- Je vais très bien merci, dit elle au sorcier en s'asseyant à coté de lui.

Son sourire stupide et son signe de main ne fit que prouver à l'ectoplasme que sa présence le mettait mal à l'aise.

- Si je te gènes, je peux partir ? Je ne cherchais qu'à faire connaissance avec des élèves... Je ne vais pas te manger, tu sais.

Le jeune homme mit longtemps à répondre au plus grand désespoir de Kaprice.

"Il ne manquerait plus que Pavel arrive..." Pensa-t-elle.

Pavel était un esprit frappeur qui hantait lui aussi les lieux. Depuis qu'ils s'étaient rencontrés, une rivalité était née entre eux, pour le meilleur et pour le pire. C'est pourquoi, plus Kaprice l'évitait, mieux s'était.

Voyant que le sorcier n'avait toujours pas répondu, elle lui posa d'autres questions, aussi diverses que étranges, qui peut être allait le réveiller de sa torpeur.

- Tu es en qu'elle année ? Tes parents sont sorciers ? Tu aimes chips ?

Invité .

Le jeune homme se déplaça de quelques centimètres pour éviter de toucher l'esprit. Il détestait ces fantômes. Qui les a crées sérieusement ? Nathaniel ne pouvait pas partir d'un coup, ce serait trop impoli envers elle. Mais pourquoi pas ? Ce n'est qu'un esprit, et elle n'est pas son amie et ne le sera jamais. Nathaniel conta à trois dans sa tête..... Un....Deux..... et.....

- Si je te gènes, je peux partir ? Je ne cherchais qu'à faire connaissance avec des élèves... Je ne vais pas te manger, tu sais.

Le Licornien ouvrit sa bouche en O, tourna la tête vers elle. Comment avait-elle deviné ? Cela se voyait trop sur son comportement ? Nathaniel baissa la tête, rouge de honte. Quelle situation ! Pourquoi à chaque fois qu'il entreprenait des conversations, il devait rougir ! Il arrêta de réfléchir, et regarda droit devant lui, comme paralysé.

- Ben.... écoute.... non, non, mais c'est bizarre, je n'ai pas l'habitude à parler à des créat..... des esprits tels que toi ! Ce sera une nouvelle expérience pour moi, vilà tout, s'exclama-t-il en essayant toutefois de paraître tranquille, malgré que ses mains tremblaient.

Il regardait la masse mouvante des élèves qui marchaient. Il savait que l''esprit lui avait posé d'autres questions. Nathaniel ne savait que répondre. Pourquoi s'intéressait-t-on à lui ? Et surtout un esprit ? Quelle galère. Il bougea sa tête vers l'esprit, et la vit pour la première fois. Rien d'original ! Elle était transparente, des cheveux longs mais le plus stupéfiant était ses yeux. Lorsque elle était en vie, elle devait avoir de magnifiques yeux, mais quelle couleur ? Mystère et boule de gommes. Le jeune homme toussa, renifla et répondit d'une voix plate et sans ton et rapidement :

- Je suis en 2ème année à Licorne, mes parents sont moldus, et je suis sorcier. Et oui ? Cela t'étonnes ? Chips ? C'est quoi , de la nourriture? Excuse-moi, je ne connaîs pas parfaitement le monde des sorciers.

Nathaniel se retourna aussitôt et reprit sa pose initiale. Tête droite, dos droit, les mains sur ses genoux et son regard attiré vers le mur en pierre noire devant lui. Quelques minutes passèrent... Etait-elle partie ? Non... Nathaniel sentait toujours son souffle. Il soupira d'ennuie. Il pouvait partir. Nathaniel ramassa son sac par terre et ne fit rien. Pourquoi ? Telle est la question....

PNJ .

L'ectoplasme le regarda balbutier en lui répondant. Il ne semblait pas à l'aise. Enfin cela pouvait se comprendre étant donné qu'à son habitude Kaprice ennuyait tous les élèves du château à n'importe qu'elle heure du jour comme de la nuit.

" Ce n'est tous de même pas normal. JE SUIS QUELQU'UN DE NORMAL! Ou du moins... Presque." Pensa le fantôme, le regard fixer sur le jeune sorcier.

- Je suis en 2ème année à Licorne, mes parents sont moldus, et je suis sorcier. Et oui ? Cela t'étonnes ? Chips ? C'est quoi , de la nourriture? Excuse-moi, je ne connais pas parfaitement le monde des sorciers.

Vraiment ? Ce sorcier était donc un née moldu... On ne l'aurait pas cru à premier coup d'œil. Sans comenter la réponse du jeune homme elle ajouta en montrant un gros calamar collé contre une des bais vitrées:

- C'est lui Chips. Pas mal comme surnom ? En réalité, je ne sais pas ce qu'est un chips, mais j'ai entendu une sorcier en parler un jour... Ça semblait tellement fabuleux que j'ai décidé de surnommer cet animal Chips...

Remarquant que le jeune homme avait attrapé son sac et se préparait à partir le fantôme s'esclaffa.

- Je dois vraiment te faire peur... Et tu n'as pas tord... BOUH! Hurla-t-elle en riant de plus belle. Enfin les fantomes... Ce n'est peut être pas ton truc. Tiens qui vient là...

Invité .

Jericho, le second esprit frappeur qui avait lui aussi fait de
Durmstrang son domicile arriva dans le couloir en hurlant le nom d'une
amie qui avait dans sa quête du domicile parfaitement adaptés aux
esprits frappeurs mais difficile de trouver mieux que Poudlard, où le
légendaire Peeves vivait et faisait ce que bon lui semble.

Kaprice,
la regle d'or de tout esprits frappeurs est qu'on ne crie pas, on lance
des beuglantes ou des livres qui veulent te manger dès que tu les
ouvres.

Puis Jericho se tourna vers l'élève
qui venait certainement de rencontrer son premier esprit frappeur et
qui semblait deja traumatiser à vie.

Kaprice,
il faut les toucher physiquement pas qu'en hurlant des
BOUAHAHAHAHAHAHAHAAAAAAAAAAAAA ou des BOUH qui sont les cris les plus
simples à faire il faut aussi lui salir son bel uniforme d'élève modèle
en lui lancant de l'encre.

Soudain l'esprit frappeur
sortit des encriers remplis et les lança sur le pauvre petit élève
avant d'hurler des cris tellement aigus qu'ils auraient pu en casser
les vitres.

HIhihihihihihihihihihihihihihihihihihihihihihihihihihihihihihihihihihihihi

Puis
il disparut dans le long couloir tout en continuant son concert de
syllabes incompréhensibles et tout simplement abominables à entendre
avant de renverser les choses qui osait se trouvait sur son passage
afin de laisser le souvenir du passage de Jericho l'esprit frappeur qui
pouvait faire monter sa voix à 230 décibels sans se forcer.

Invité .

Max arpenter les couloirs du château à la recherche de ses souvenirs d'enfances passer dans l'institut. Que ce temps lui parait loin, mais si proche en même temps... Les couloirs n'avait guère changé, malgré la bataille, Nicolas avait fait du beau travail, tout avait était reconstruit dans les règles de l'art.

Arrivée à un détour d'un couloir, Max entendu le cri typique de l'esprit frappeur de Durmstrang, Jericho ! Que de souvenirs avec lui, qu'est ce qu’il n’avait pas pu faire et Karkaroff qui s'en arrachait les cheveux, déjà qu'il n'en avait pas beaucoup, alors avec les tours que faisait Jericho, il devenait dingue.

Max se souvenait d'une fois, où Jericho avait réussi par on ne quel miracle, faire tomber un véritable déluge d'encre dans la salle d'examens alors que tout les élèves passer un examen, tout fût annulé, tout le monde avait de l'encre jusqu'a à la taille et les portes qui refusait de s'ouvrir… ils nagèrent littéralement dans une mer d’encre… Quand enfin tout le monde pu sortir, il avait tous le bas du corps rose bonbon.

Le jeune homme éclata de rire à ce souvenir et comment le directeur avait explosé, en hurlant et en dévastant tout sur son passage par son aura...

Max arriva dans le couloir abyssale, quoi de plus étonnant, mais à sa grande surprise, il y avait deux esprits frappeurs.

- Par le caleçon de Merlin ! s'exclama Max, Durmstrang va péter des lutins !

Il arriva plus prêt pour voir un garçon recouvert d'encre, il s'approcha et le regarda avec compréhension.

- Ne t'inquiète pas bonhomme, dit Max, ça va aller...

Il regarda Jericho s'éloigner et il cria :

- JERICHO ! MAIS CE N’EST PAS POSSIBLE, MÊME APRES TOUT CE TEMPS TU CONTINUE TES CONNERIES !!!

Il se tourna vers le deuxième esprit frappeur qui était une femme.

- Je suis Maximilien Cooper, dit-il, professeur dans cette école ! Trouves tu normal de terrorisé un élève comme ça ???

Il regarda l’élève de plus près pour déterminé ce que ce Jericho avait encore utilisé... Il sortit sa baguette et la pointa sur le garçon, les taches d'encre disparurent. Il nettoya le seul des morceaux de verre que les encriers avaient laissé en explosant au sol...

Invité .

Jericho se retourna vers une voix qu'il connaissait très bien, celle d'un des rares élèves qui avait eu le bonheur de ne pas subir les blagues de Jericho.

Maximilien Cooper, du haut de mes 700 années d'esprit frappeurs je dois te dire que personne n'a insulté de conneries mes gentillesses infantiles, pour la peine je vais hurler avec ma plus belle voix.

Jericho inspira de toutes ses forces avant de lâcher l'un de ses plus beaux cris.

HIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII
HOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO
HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA

Sa vous en bouche un coin ? Qu'un presqu'etre humain puisse crier à plus de 450 décibels !!

Puis Jericho se retourna vers Kaprice

Pavel a quitté le châteaux suite à mon arrivée tu n'auras plus de problèmes avec lui.

Jericho se retourna vers l'élèves pour contempler son œuvre avant de découvrir avec horreur qu'il n'avait plus d'encre

Sacrilège !!! Qui a osé détruire le fruit de cinq seconde de ma vie je crois que je vais renverser des armures moi sa vaudrait mieux pour la bouse de dragon qui a osé défier Jericho. J'en parlerais au syndicat des esprits frappeurs de plus 700 ans puis au ministères de la bêtises .

Soudain Jericho sortit des livres-qui-mangent et les lança tout autour de lui avant de toucher quelqu'un.

PNJ .

Kaprice regarda Jericho terroriser son élève. Ce nouveau esprit frappeur ne lui revenait pas, peut être parce qu'il osait lui donner des leçons. Pavel n'était peut être pas aussi terrible que ca au final...

Comme ci cela ne suffisait pas, le nouveau professeur d'histoire de la magie les rejoignit.

- Je suis Maximilien Cooper, dit-il, professeur dans cette école ! Trouves tu normal de terrorisé un élève comme ça ?

L'ectoplasme ne put se retenir de rire. Jamais un humain avait tenté de faire ami-ami avec elle. Malgré cela, elle prit l'initiative de répondre à Maximilien.

- Que voulez vous que je vous dises... Il fait ce qu'il veut après tous, ce n'est pas mon problème, dit elle. Et puis, c'est un esprit frappeur, certes quelque peu vantard, mais c'est un esprit frappeur.

L'endroit devenait quelque peu trop mouvementé pour le fantôme.

- Un conseil professeur... Évité de parler à un esprit frappeur la prochaine fois... Ce n'est jamais bon, murmura-t-elle en passant à travers le sorcier.

Elle commençait à s'élever pour traverser le plafond pour attendre les étages supérieurs quand elle regarda vers le bas.

- A plus tard Nathaniel, dit elle en faisant signe à l'intéressé. J'ai été heureuse de te rencontrer.

Invité .

Max regarda l'esprit de cette jeune femme, elle était magnifique, que lui était il donc arrivé pour mourir si jeune. Sa beauté troublait Max, par Merlin, comment c’était possible ?

- Pourquoi je devrai éviter de parler à un esprit frappeur ? s'exclama Max, il n'y à pas de raison !

La jeune femme lui passa à travers le corps, une grande froideur le traversa alors et il en frissonna. Qu'il détesté ça, quand un fantôme passer à travers son corps. Elle arriva au plafond avant qu'elle ne rajoute :

- A plus tard Nathaniel, dit elle en faisant signe à l'intéressé. J'ai été heureuse de te rencontrer.

Max réagi au car de tour à l'exclamation de l'esprit.

- Par le caleçon à lutin de Merlin ! Mais vous allez laisser tranquille cet élève ! Qu'est ce qu'il vous à fait ?

Max se retourna pour faire face à Nathaniel, mais au lieu de ça, il se trouva nez à nez avec Jericho qui se mit à hurler terriblement fort :

- HIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII ; HOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO ; HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA

Max tomba au sol en se protégeant les oreilles, mais qu’est ce qui lui prend à Jericho d’hurler de la sorte ?

En regardant Jericho, il fut surpris qu’il lui lance des livres en pleine figure. Il ne pu les éviter et s'en prit un dans le coin de l'œil, le sang commença à couler et Max vit un autre atteindre Nathaniel.

- JERICHO ! hurla Max en se tenant l'œil en sang, MAIS CE N’EST PAS POSSIBLE, TU DEPASSES LES BORNES !

Invité .

Jericho regarda Maximilien le sang coulant de son œil et il ne put s'empêcher de rire, allons donc il avait mis au tapis un professeur.

Je ne puis m'empêcher de remarquer que tu as l'air en très mauvaise posture pour l'un des élèves les plus brillants de sa promotion. Monsieur Karkaroff n'a apparemment pas fait le bon choix pour ses meilleurs élèves.

Puis Jericho se retourna vers Kaprice qui disparaissait peu à peu dans le plafond.

Veux-tu descendre petite novice je n'ai pas finis mes leçons de moral. Par tout les lutins je n'ai connu de novice plus détéstable qu'elle.

Jericho regarda une nouvelle fois ses victimes et se mit à chanter.

IL EST VENU LE TEMPS DES CATHEDRALEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEES

et oui j'ai la plus belle voix du pays je sais. Et maintenant mon tour favori le lachers de beuglantes.

Jericho sortit des tas de lettres et les lança un peu partout autour de lui puis il se précipita pour les ouvrir pour que le concert des mille voix puissent commencer.

C'est parti

Puis dans un élan de folie les beuglantes se mirent a hurler des chants aussi bêtes qu'incompréhensibles au grand malheur des tableaux environnants qui manifestèrent leur mécontentement en lancant des injures étouffait par les bruits des papiers qui voletait un peu partout dans le couloir.

PNJ .

Nicolas Anouza c'était levé de bonheur aujourd'hui. Il appréciait particulièrement voir le soleil se lever et ainsi animer la vie du château. Il se promenait donc au milieu des couloirs de l'institut et profitait du temps que lui offrait un dimanche.

Pour le moment, tous lui souriait. Les annonces qu'il avait posté à l'ASPE (Agence Sorcière Pour l'Emploi.), lui avait permit d'emboucher un certain nombre de professeurs et ainsi d'avoir une équipe presque au complet. Mais une bonne nouvelle n'arrive jamais sans une mauvaise... C'est pourquoi, la veille, il avait pu faire la connaissance de Jericho, un nouvel esprit frappeur. Par chance, pour le moment aucun accident était à déploré.

C'était donc heureux et confiant que le jeune homme descendit les escaliers qui menait au couloir abyssale. Que fut sa surprise quand il vit l'ectoplasme saccager et terroriser une partie du château.

"Ca commence bien" Pensa-t-il en s'avançant prés du responsable. "Et qui est ce qui va encore tous devoir nettoyer ?"

D'un coup de baguette, il fit disparaitre tous les livres ensorcelés et les beuglantes. Ce n'était pas le moment de s'énerver, ni de montrer une quelconque signe de faiblesse. Cet esprit frappeur devait savoir qui était le chef et en occurrence, c'était lui.

- Dis moi Jericho... Tu veux de l'aide ? Dit-il à l'intéressé. Je sais que tu es un esprit frappeur, que de ce fait il est possible que tu ne comprennes pas tous... Mais évite détruire cette partie du château. Ce sont les fondations... Et sans celles ci, nous pouvons dire adieu à notre institut.

Jericho l'écoutait sans réagir. Pour le moment... Mais dans tous les cas, Nicolas ne lui donna pas le temps de répondre.

- Monsieur Cooper... Si j'ai accepté de vous prendre dans cet institut, c'est que j'étais sur de vos capacités magiques. Pourtant, cet épisode vient de faire naitre une doute. Avec l'aide de votre baguette magique, n'auriez vous pas pu arrêter Jericho au lieu de vous esclaffer au milieu de ces jeunes gens... Vous n'avez fait que vous rabaisser devant cet ectoplasme et vous l'avez de ce fait explicitement incité à continuer. Lança-t-il avec un sourire poli. Je présume que ce n'était qu'une erreur, n'est ce pas ?

HJ: Je suis gentil en vrai... Ce n'est que mon personnage, hein? hhh

Invité .

Jericho regarda le directeur sans vraiment entendre les paroles prononcés par ce dernier, ce qui l'intéressait était d'hurlé.

MAIS VOUS ÊTES FOU? J'AI PRIS DES HEURES A PRÉPARER CES BEUGLANTES AINSI QUE TOUTES CES FARCES ET HOP VOUS ARRIVEZ AVEC VOTRE AIR DE "C'EST MOI LE CHEF ET TOUT LE MONDE EST A MES PIEDS" ESPÈCE DE SAUVAGE.

quel toupet! Je vous previens que sa se finira devant un tribunal.

Puis Jericho attrapa les choses environnantes et les jeta en hurlant le plus fort possible.Il y allait avoir une vendetta et Jericho attendrait le bon moment et ce moment arrive a l'instant quand le directeur fit des reproches à son professeur.

- Monsieur Cooper... Si j'ai accepté de
vous prendre dans cet institut, c'est que j'étais sur de vos capacités
magiques. Pourtant, cet épisode vient de faire naitre une doute. Avec
l'aide de votre baguette magique, n'auriez vous pas pu arrêter Jericho
au lieu de vous esclaffer au milieu de ces jeunes gens... Vous n'avez
fait que vous rabaisser devant cet ectoplasme et vous l'avez de ce fait
explicitement incité à continuer. Je présume que ce n'était qu'une erreur, n'est ce pas ?

Jericho se précipita sur l'occasion et dit calmement.

Monsieur, vous traitez ainsi les professeurs dont vous avez presque pleurez pour en avoir les compétences dans votre établissement qui sans eux serait en pleine faillite et coulerait telle une pierre dans l'eau. Je deteste les gens comme vous donc pour la peine je vais vous confisquez votre baguette.

Contre toute attente Jericho se jeta sur la baguette de Nicolas avant de l'emprisonner dans ses bras.

Invité .

- IL EST VENU LE TEMPS DES CATHEDRALEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEES

Max était toujours par terre à se protéger les oreilles, apparemment cette chanson avait fait le tour du monde, mais chanter par Jericho donner un tout autre sens à la chanson, celui de rester cloué sur place. Par Merlin, comment Jericho pouvait hurler de la sorte, c’était insupportable à l’oreille.

Max se demandé si ses tympans étaient toujours entiers. Son œil saignait toujours, il allait répliquer quand Jericho lança un nombre incalculable de beugleutes, le bruit était moindre que les hurlements de Jericho, mais tout aussi insupportable.

Il sorti sa baguette histoire de fait cesser tout cela, mais il fut interrompu par Nicolas Anouza qui arriva, il réprimanda Jericho avec ferveur :

- Dis-moi Jericho... Tu veux de l'aide ? Dit-il à l'intéressé. Je sais que tu es un esprit frappeur, que de ce fait il est possible que tu ne comprennes pas tous... Mais évite détruire cette partie du château. Ce sont les fondations... Et sans celles ci, nous pouvons dire adieu à notre institut.

Max souri à cette évocation des fondations, si Jericho détruisait l’institut, la Bulgarie irait à la catastrophe, et surtout le monde magique rigolerai à savoir que c’est un simple esprit frappeur avait réussi à lui seul à mettre par terre un château de cette taille. Mais vite, Max effaça son sourire quand le directeur l’interpela.

- Monsieur Cooper... Si j'ai accepté de vous prendre dans cet institut, c'est que j'étais sur de vos capacités magiques. Pourtant, cet épisode vient de faire naitre un doute. Avec l'aide de votre baguette magique, n'auriez vous pas pu arrêter Jericho au lieu de vous esclaffer au milieu de ces jeunes gens... Vous n'avez fait que vous rabaisser devant cet ectoplasme et vous l'avez de ce fait explicitement incité à continuer. Lança-t-il avec un sourire poli. Je présume que ce n'était qu'une erreur, n'est ce pas ?

Max accusa le coup, on lui reproche d’inciter Jericho à faire des siennes ! Non mais pour qui il se prend ? Il aller répliquer quand Jericho piqua la baguette magique de Nicolas.

- Merci de ton aide Jericho ! Dis-moi une chose Nicolas ? s’exclama Max, tu viens d’arriver l’instant, sans savoir ce qui c’est passer, mais tu constate que je suis par terre, blessé, pas gravement, mais blessé, et tu insinue que je n’est aucunes capacités magiques ? Et une autre chose, je ne rigole pas des conneries de Jericho. Mais je devrais peut-être douter de tes capacités magiques à toi ? Tu n’as pas pu arrêter Jericho ? peut être que Karkaroff c’est trompé sur toi ? On te pique même ta baguette magique !

Max éclata de rire de l’expression de Nicolas alors que Jericho lui avait volé sa baguette. Max sorti sa baguette et Jericho qui disparu à travers un mur après l'avoir pointé sur lui. Max se releva et fit face à Nicolas :

- Maintenant que j’ai débarrasser le couloir de Jericho, je vais pouvoir aller me faire soigner par ma femme à l’infirmerie, dit Max, Et l’histoire de ta baguette restera là, seule les personnes présentes pourront le raconter, mais je doute qu’ils le fassent de peur de ta réaction, un esprit frappeur voler la baguette magique du directeur de l’établissement. Sur-ce…

Max tourna les talons et commença à avancer dans le couloir.

- Je te laisse la charge de Nathaniel…

PNJ .

Nicolas Anouza écoutait sans mot dire Maximilien s'esclafer au milieu du couloir.

- Merci de ton aide Jericho ! Dis-moi une chose Nicolas ? s’exclama Max, tu viens d’arriver l’instant, sans savoir ce qui c’est passer, mais tu constate que je suis par terre, blessé, pas gravement, mais blessé, et tu insinue que je n’est aucunes capacités magiques ? Et une autre chose, je ne rigole pas des conneries de Jericho. Mais je devrais peut-être douter de tes capacités magiques à toi ? Tu n’as pas pu arrêter Jericho ? peut être que Karkaroff c’est trompé sur toi ? On te pique même ta baguette magique !

Le jeune homme n'en revenait pas. Il se mit à rire nerveusement.

- Premierement, je ne suis pas votre ami, je ne vous permet donc pas de me tutoyer. Deuxièmement comme vous venez de le dire, je viens d'arriver et comme vous avez pu le constater je n'ai pas quatre bras, donc je ne peux pas de ce fait arrêter Jericho. De plus, l'avis de karkaroff ne m'intéresse que peu contrairement à d'autre... Et puis, si Jericho avait tenté de voler votre baguette magique, je doute que vous auriez pu faire quelque chose. Finit-il par dire.

Malgré son calme apparent, son sang bouillonnait. Maximilien Cooper avait dépassé les bornes en remettant en doute ses capacités à diriger l'institut. Il tendit son bras et sa baguette s'échappa de l'emprise de Jericho pour revenir en sa possession.

- Maintenant que j’ai débarrasser le couloir de Jericho, je vais pouvoir aller me faire soigner par ma femme à l’infirmerie, dit Max, Et l’histoire de ta baguette restera là, seule les personnes présentes pourront le raconter, mais je doute qu’ils le fassent de peur de ta réaction, un esprit frappeur voler la baguette magique du directeur de l’établissement. Sur-ce…

Et ca continuait! Le professeur semblait vraiment aimé se mettre en avant, ce qui exaspérait vraiment le directeur.

- Vous savez... Vous pouvez crier sur tous les toits cet épisode, cela ne me dérange pas. Je ne suis pas attaché au apparence à ce point, c'est peut être une énième différence entre nous. Ce qui pourrait par contre attaché une importance, c'est le comportement de certain.

Le jeune homme n'en pouvait plus. Son collègue avait un sacré culot. L'affaire était loin d'être finit pour le professeur de magie noire.

- Nathaniel, dirige toi vers l'infirmerie s'il te plait, lança-t-il avec un sourire au sorcier avant de tourner les talons et de se diriger dans son bureau.

.

» Entretien avec un directeur [Anton]

Le Monde Magique

Velingrad

Gringotts, la banque des sorciers

Première rencontre avec les élèves